ArtGenève édition 2019

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Pour la 8èmeannée consécutive, ArtGeneve s’installera à Palexpo pour le plus grand plaisir des amateurs, passionnés et professionnels d’art contemporain et d’art moderne. Cette année encore, Thomas Hug renouvelle sa collaboration avec le PAD (Pavillon des Arts et du Design). Les visiteurs pourront ainsi apprécier des arts décoratifs, du design historique, de la joaillerie et des arts premiers, en plus du vaste monde de l’Art contemporain. ArtGeneve 2019 ouvrira ses portes du 31 janvier au 3 février et réunira les œuvres de plus de 700 artistes issuesde 89 galeries locales et internationales. De nouvelles régions feront leur entrée. La Chine, l’Iran, la Corée rejoindront en effet le salon d’art genevois pour cette édition 2019.

 ArtGenève 2019, Caroline Freymond nous en parle :

« Je connais bien le directeur, Thomas Hug, qui par son excellent travail, a porté ArtGenève à un niveau très apprécié des galeristes, collectionneurs, amateurs d’art et du public. La participation croissante de nouvelles galeries venant de Suisse et de l’étranger le prouve de manière concrète depuis 2011. Cette visibilité que crée ArtGenève pour les différents acteurs de l’art moderne et contemporain est un atout majeur. Ce salon, de taille humaine, rend possible les rencontres, les échanges, les découvertes, positionnant Genève sur la carte européenne et sans doute mondiale de l’art. En tant que collectionneurs, ce salon nous permet de visiter nos galeries « amies » et de découvrir à chaque nouvelle édition un (e) artiste, une œuvre « coup de foudre ».

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« 40Foot Stepped Skyscraper (2011) de Chris Burden sera exposé dans la section artgenève/estates, d’artgenève 2019, qui présente chaque année une oeuvre monumentale d’un artiste de renom.

40 Foot Stepped Skycraper témoigne de la maîtrise par l’artiste de principes d’ingénierie toujours plus complexes. L’œuvre fut construite en s’inspirant de la forme d’une ziggurat où les escaliers tournent en spirale en se soustrayant du périmètre jusqu’au sommet de la sculpture » artgeneve.com

 

L’art contemporain au coin de la rue

Depuis les années soixante, les villes de Madrid et de Barcelone ont vu naître des endroits insolites en matière d’art contemporain. C’est sur ces modèles qu’accueille la ville culturelle de Soleure en Suisse, sa 19èmeédition du Supermarché d’art contemporain.

Le vernissage de cet événement a eu lieu le 8 novembre 2018 à 11h et accueille 116 artistes originaires de 12 pays. Les différentes salles d’exposition sont ouvertes au public tous les jours de la semaine, du lundi au vendredi de 14h à 20h et le samedi et dimanche de 11h à 17h. Dans ce supermarché, les visiteurs et les potentiels acheteurs ont la possibilité de découvrir 7000 œuvres d’art, essentiellement des tableaux. Pour des raisons logistiques et de place, l’endroit ne peut accueillir des œuvres telles que des sculptures par exemple.

Cet événement a été mis en place par l’éditeur Peter-Lukas Meyer et la maison d’édition Rothus. Leur but principal était au départ d’attirer les personnes qui ne fréquentent habituellement pas les galeries d’art. De cette façon, l’art devient accessible à tous dans la mesure où les allées sont en accès libre au public, qui peut venir flâner dans les allées de ce supermarché d’un genre nouveau. Qui plus est, ces sont de véritables œuvres d’art que les visiteurs viennent découvrir, des tableaux authentiques, voués à être ordinairement exposés dans des musées ou des galeries d’art contemporain.

Les artistes participant sont triés parmi une multitude de candidatures envoyées au tout début de l’année. Les organisateurs, soutenus par un jury d’experts en art, accordent une importance primordiale à la qualité du travail envoyé par les peintres. Ils sélectionnent alors 80 artistes au maximum, qui dévoileront 40 œuvres chacun lors de l’événement. Parmi ces chanceux sélectionnés, des échanges sont effectués avec les supermarchés de Francfort et de Berlin. Ainsi, des artistes suisses ont la possibilité de faire découvrir leur travail à une échelle internationale, et d’autres en provenance d’autres pays européens viennent dans la ville de Soleure pour présenter leurs œuvres.

En contrepartie, les artistes sont sollicités financièrement dans la mesure où leur travail est consigné. Ils participent donc pour moitié au résultat de la vente de leurs tableaux. Au bénéfice financier vient s’ajouter un effet de publicité non négligeable car ce super marché est une voie royale pour accéder à une notoriété naissante dans le milieu artistique.

Pendant, les huit semaines d’ouverture des salles d’exposition, cette année du 9 novembre 2018 au 6 janvier 2019, les amateurs friands d’art peuvent acquérir sur place l’ensemble des œuvres originales de façon immédiate. Aucune copie n’est vendue sur place et aucun délai de commande n’est à prévoir. C’est l’occasion pour le public de faire de nombreuses découvertes car les exposants sont présents ou présentés dans une brève biographie affichée près des créations mises en vente.

Le principe et le marketing sont les mêmes que si on allait faire ses courses au supermarché du coin.

Toutes les œuvres sont préemballées dans un film plastique et mises à disposition dans des bacs de façon attractive. Chaque visiteur peut les toucher et faire son choix. Les tableaux sont à la libre disposition des acheteurs qui peuvent d’ailleurs bénéficier des conseils d’un personnel avisé et expérimenté pour les guider dans leurs achats.

De plus, les prix sont affichés clairement aux prix de 99,199, 399 ou 599 CHF. Ce qui rend l’ambiance supermarché d’autant plus présente.

Cet événement est parfois apprécié, parfois contesté, mais il ne laisse personne indifférent…

Le week-end Genève Art Contemporain approche!

colormygeneva.ch

Comme chaque année en novembre, le temps d’un week-end,  l’art contemporain s’empare de la ville de Genève. Samedi 17 et dimanche 18,  les galeries et institutions genevoises, membres de l’Association Genève Art Contemporain et en collaboration avec le Quartier des Bains, ouvriront leurs portes au grand public.

Rencontres, vernissages, finissages, animations… une programmation riche attendra amateurs et passionnés lors de ce rendez-vous de découvertes artistiques qui réunira pas moins de 31 institutions.

Journées portes ouvertes des galeries d’art, l’Espace Muraille rejoindra le mouvement en ouvrant ses portes dès 14h en visite libre. L’occasion pour tous les visiteurs de découvrir l’univers innovant d’Anton Alvarez qui expose en ce moment dans la galerie de la place des Casemates.

Un dépliant contenant la programmation détaillée des tous les événements du week-end sera remis au public dans chacun des lieux participants. En attendant, toutes les informations sont disponibles sur http://www.geneve-art-contemporain.ch

 

Anton Alvarez à l’Espace Muraille de Genève

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Designer, sculpteur, céramiste, artisan… Anton Alvarez est un artiste qui revêt bien des casquettes ! Diplômé d’ébénisterie au Royal College of Art de Londres, il se passionne très vite pour les sculptures faites de bois recouvert de fils colorés. Ses œuvres à la croisée de la sculpture et du mobilier sont aussi intéressantes par leur présence que par leurs procédés de création puisqu’Anton Alvarez crée non seulement ses œuvres mais également ses propres outils.

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Dès ses débuts, alors qu’il a en tête de créer une sculpture par jour, Anton Alvarez est attiré par l’efficacité de l’emballage par le fil. Très vite, il se concentre sur l’idée de simplifier et donc d’automatiser son processus de création. Un an plus tard, la « Thread Wrapping Machine » était née. L’engin innovant dont il est à l’origine est composé d’un cylindre tournant qui lui permet de recouvrir toute la surface de ses sculptures de fil enduit de colle.

Installé à l’Espace Muraille de Genève depuis le 12 octobre, Anton Alvarez expose ses productions sous le titre de « Visual vertigo ». Cette exposition qui durera jusqu’au 15 décembre réunit pour la première fois les deux pans du travail d’Anton Alvarez : le bois et la céramique.

lsnglobal.com

L’artiste suedo-chilien également formé à l’architecture d’intérieur et au design à Konstfack se fait connaître aussi pour ses créations en céramique. Anton Alvarez, expert en la matière, remet ses compétences de concepteur de machines au service de la céramique. Ce dernier a fait le choix de ne pas façonner ses sculptures en terre cuite de ses mains mais plutôt de les faire naître d’une extrudeuse géante.

espacemuraille.com

De son travail émerge l’idée d’une nouvelle ère de création artistique. Une ère centrée sur l’automatisation des productions. Dans son art, pas de préconception. Dans ces œuvres qui prennent vie au gré de ses manipulations à travers ses drôles d’engins, c’est même l’accident, l’inattendue qui fait le charme.

Energy Observer, la série-télé.

Energy Observer, la série-télé est enfin là…

Tous ceux qui auraient rêvé d’embarquer à bord du navire hydrogène vont pouvoir se consoler avec la série documentaire retraçant les moments forts vécus jusque là par l’équipage d’Energy Observer.

10 000 nautiques, 14 pays et plus de 30 escales racontés dans la série inédite  » Energy Observer, l’Odyssée pour le futur ». 8 épisodes seront ainsi disponibles dès le 10 octobre sur Planète+.

Une série réalisée par le chef d’expédition en personne, Jerome Delafosse.

Quand l’art devient un jeu d’enfant !

Palexpo.ch

Et si l’art était un jeu d’enfant ? Voilà une réflexion pour laquelle Nathan Sawaya n’a aucun doute.

Ce sculpteur américain de 46 ans a très vite abandonné sa carrière d’avocat en droit des affaires pour faire de sa passion des LEGO©, un art. Un pari certes plutôt risqué mais plus que réussi aujourd’hui pour notre artiste à l’origine de l’exposition mondialement connue, « The art of bricks ».

floornature.eu

Dans ses ateliers, point de céramique, de bois, de bronze ou encore de pierre. Nathan Sawaya a troqué ces matériaux traditionnels contre des petites briques de LEGO©. Ayant commencé à jouer à l’âge de 5 ans, il s’est attaché à ce jouet connu de tous jusqu’à l’emmener dans le monde de l’Art. Nathan Sawaya participe à la fois à une élévation du jeu LEGO© ainsi qu’à une démocratisation de l’art. D’après lui, grâce à ce médium sortant des sentiers battus, tout le monde peut comprendre ses oeuvres. Ses références aux grands classiques tels que La Vénus de Milo, Le penseur de Rodin, Les époux Arnolfini de Jan Van Eyck sont d’ailleurs une manière originale de faire découvrir les grands chefs-d’œuvre aux spectateurs les plus jeunes. Ses expositions réunissent ainsi tous les âges. Petits et grands, de 0 à 99 ans, tous autant captivés par un « remake » de La Joconde que par un Superman grandeur nature.

euronews.com

Après avoir parcouru les États-Unis, Londres, Rome et dernièrement Paris, « The art of bricks » s’installe à Genève du 4 octobre au 6 janvier 2019. Au programme, grandes œuvres détournées, sculptures magistrales de super-héros mais aussi un petit clin d’œil aux helvètes avec une vraie montre spécialement conçue pour ce passage en Suisse. Au total, pas moins d’un million de briques colorées se retrouveront à Palexpo Genève pour ce rendez-vous d’automne. Un travail de longue haleine pour Nathan Sawaya qui invite à retomber dans l’enfance le temps d’une exposition. Et parce qu’à l’issue d’une telle visite, vous aurez certainement envie de vous adonner à la construction de LEGO©, un espace créatif mettant des milliers de briques colorées à disposition des visiteurs sera installé.

Les vingt ans du musée national suisse

Ce week-end, le musée national suisse a fêté ses vingt ans au château de Prangins. Un voyage dans le temps qui démarre au 17ème siècle, avec les « Indiennes » à l’honneur, pour finir sa course au début du 20ème siècle.

Pour rapprocher la suisse alémanique et la suisse romande, le musée national de Zurich décide de créer une antenne francophone. C’est en 1973 que la commission fédérale choisit enfin le château de Prangins parmi quinze candidats aussi prestigieux les uns que les autres. Malheureusement, la crise du pétrole et des aléas sur le chantier ralentissent la restauration du château et donc son ouverture.

Ce n’est que 25 ans plus tard, le 18 juin 1998 qu’est inauguré le musée national suisse. 20 ans après son ouverture flamboyante, le musée a conservé toute sa jeunesse. En effet, l’artiste Muma rembarque 10 ans après son « Jardin des Lumières », avec plus de 660 participants pour illuminer le château avec ses « Fleurs de feu ». Le samedi, plus de 50000 bougies ont éclairé le jardin à la tombée de la nuit, s’inspirant des « Indiennes », ces toiles de cotons des 17 et 18ème siècles. Interdites sur le sol français au 17ème siècle pour des raisons économiques par Louis XIV, il faudra attendre 1759 et Louis XV pour lever cet embargo. L’exposition « Indiennes, un tissu révolutionne le monde » est, quant à elle, à voir jusqu’au 14 octobre.

Le dimanche, le « déjeuner sur l’herbe » ainsi qu’un défilé de costumes historiques ont pris place au château. Des stands de restauration à l’ancienne étaient installés pour ceux qui avaient oublié de prendre un pique-nique. Des étudiants de la Haute école d’art et de design de Genève ont eu l’honneur de créer une collection « Indiennes » qui a été présentée au public dans l’après-midi. Pour couronner le tout, cinquante participants, venus parmi les visiteurs pour célébrer l’anniversaire, ont participé au concours de costumes historiques. Cette année, le 18ème siècle n’était plus le seul à l’honneur ; La 10ème édition du « déjeuner sur l’herbe » couvre l’histoire de 1701 à 1920.

Opération réussie pour le château cette année puisque cette édition a réuni près de 9000 visiteurs. En espérant que cet événement était loin d’être le dernier et que le château nous réserve d’autres surprises encore plus époustouflantes.

World CleanUp day, le grand ménage d’automne !

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Le 15 septembre 2018, le premier World Clean Up day, une journée de sensibilisation et d’action qui, organisée à l ‘échelle mondiale, a rassemblé environ 150 pays. Au total, plus de 15 millions de citoyens réunis autour d’un même dessein : nettoyer la planète de tous ses déchets illégaux. Cette alliance entre volontaires et associations de défense de l’environnement a permis un nettoyage efficace des plages, des rivières, des forêts et des rues. La « Vague Verte » ayant démarré dans la matinée aux îles Fidji s’est terminée en fin de journée de l’autre côté du globe dans l’état indépendant du Samoa soit trente-six heures de nettoyage continu tout autour du globe.

L’idée de ce grand nettoyage d’automne a été lancée par le mouvement estonien « Let’s Do It ». En 2008, ce dernier avait réussi à réunir 4% de la population d’Estonie afin de nettoyer le pays en quelques heures. Le succès fulgurant de l’évènement fini par inciter les acteurs de « Let’s Do It » à voir plus grand…10 ans plus tard, le nettoyage ne se cantonne plus à l’Estonie mais s’attaque au monde entier.

Une action qui unie.

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Du participant le plus âgé à Curaçao (100 ans) au plus jeune, à peine âgé de 3 mois en République Tchèque, le World Clean Up day a su réunir toutes sortes d’individus autour d’un même combat : l’écologie. Qualifiée de « plus grande action civique jamais menée contre les déchets », cette action a non seulement permis de nettoyer des territoires immenses, mais aussi de rapprocher les populations et de créer un sentiment d’unité. Plus de races ou de classes sociales, juste des Hommes unis pour préserver la planète.

Le record de participation est attribué à l’Indonésie qui représente plus de 40% des participants, suivi par le Pakistan et les États-Unis. Une réussite mondiale plutôt encourageante du mouvement, d’autant que le nettoyage s’est aussi fait dans des conditions extrêmes pour certains ; comme au Canada avec -10°C ou encore en Iran +48°C. Plusieurs pays ont même dû reporter la journée par mesure de sécurité suite à l’annonce de cyclones tropicaux qui devaient affecter plus de quinze pays.

linfodurable.fr

Et après ?

Une équipe de chercheurs et d’experts dirigée par Enzo Favoino et prise en charge par la « Let’s do it! Foundation », a travaillé d’arrache-pied pour élaborer un plan de conservation de la propreté : le « Keep it clean plan » soit un ensemble de suggestions visant de préserver la propreté et à intégrer les principes du Zéro déchet. Des mesures collaboratives supplémentaires seront décidées lors de la 8ème conférence annuelle « Clean World » à Tallinn en Estonie, en présence des dirigeants des pays du monde entier.

Lorsqu’un village entier se transforme en musée d’art contemporain

C’est en hommage à la rue Campagne-Première du 14ème arrondissement de Paris que cette manifestation tire son nom. Une rue historique où une ribambelle d’artistes d’art se sont succédés pour ainsi dire depuis la nuit des temps. Aujourd’hui, c’est avec ce nom, Campagne Première, que la commune de Revonnas va célébrer l’art contemporain. Ce petit village de 900 habitants au cœur du Revermont, a accueilli les 7 et 8 juillet 2018 la première édition de ce weekend d’art contemporain.

C’est une habitante du village, Fanny Robin, qui est la directrice artistique du projet. Commissaire des expositions de la fondation Bullukian, place Bellecour à Lyon, Mme Robin est également présidente de l’association 2AR. L’association artistique de Revonnas (2AR) a été créée en janvier 2018 pour permettre l’organisation d’événements culturels (rencontres avec des artistes, expositions d’art, etc) dans la région du Revermont.

Art et Patrimoine n’en sont pas à leur première alliance et ils font toujours aussi bon ménage. Mais c’est une première dans ce petit village de l’Ain. Deux expositions sont mises à l’honneur :  « L’esprit des lieux » et  « Maison Forte ».

La première exposition nous présente notamment des artistes de la région Rhône-Alpes Auvergne qui ont pu renouer avec leur terre natale à travers cette exposition. C’est ainsi qu’au détour d’une ruelle vous pouviez tomber sur un cerf de Joël Paubel, ou encore découvrir une aquarelle florale de Christian Lhopital en entrant dans une ancienne grange, ou un assemblage de Gaëlle Foray. Puis, finir par trouver une pièce des archives du désastre de Jérémy Liron en entrant dans une cave ou aux abords d’un jardin.

france3-regions.francetvinfo.fr

La seconde exposition, quant à elle organisée par Marie-Puck Broodthaers et Alexandre Igor Everard de Harzir, a su regrouper 23 artistes du monde entier. C’est dans la maison Villefranche et sa tour du 15ème siècle que naissait l’émerveillement. Une exposition d’art contemporain, moderne et ancien lors de laquelle se mêlaient sculptures, tirages photos, huiles sur toile ainsi qu’une multitude de techniques utilisées sur des supports très variés. Un méli-mélo d’œuvres signées Serge Anton, Marcel Broodthaers, Lucia Bru, Balthasar Burkhard, Giorgio De Chirico, Mai-Thu Perret, et bien d’autres encore…