44ème édition de la FIAC

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Dimanche dernier s’achevait la célèbre Foire Internationale de l’Art Contemporain, plus communément connue sous l’acronyme FIAC. Avec 73 910 entrées en seulement cinq jours, soit une hausse de 2.5% par rapport à celle de l’année 2016, la foire parisienne a profité pleinement de sa notoriété pour faire vivre la capitale française à l’heure de l’art contemporain.

Pour cette 44ème édition haute en couleur, on ne compte pas moins de 190 galeries représentant les artistes les plus côtés et les plus émergents. Outre les galeries les plus importantes de la scène artistique internationale, toujours fidèles à ce rendez-vous annuel du marché de l’art, de nouveaux arrivés ont fait leur première apparition à la FIAC. Le Kosovo, la Tunisie et l’Egypte ont en effet fait leur entrée dans cette grande manifestation d’art contemporain de renommée mondiale, portant cette année à 29 le nombre de pays représentés à la FIAC.

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Loin de sa première édition ayant eu lieu en 1974 dans la gare désaffectée de la Bastille, la FIAC de Paris a su devenir une des grandes dates du calendrier du marché de l’art. Investissant comme chaque mois d’octobre les différents espaces du Grand Palais et ayant développé encore cette année son programme « Hors les murs » avec des projets extérieurs dans le Jardin des Tuileries, le Petit Palais, la Place Vendôme ou encore le Musée National Eugène-Delacroix, cette édition de la FIAC a su faire exploser les enchères avec la vente notamment d’un Giacometti à 22 millions d’euros.

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Quand l’art vient à la rencontre des réseaux sociaux

Publier, liker, follower, partager, tweeter, commenter, taguer …Aujourd’hui, les réseaux sociaux ont une telle place dans la société qu’ils définissent les tendances à suivre, nos amitiés, notre vie sociale voire même professionnelle.

De Facebook à Instagram en passant par Twitter, le monde change entrainant avec lui le monde de l’art. Et pour cause, cette communauté virtuelle est un immense espace d’expression où les images et les vidéos s’échangent par millions à la minute. Le potentiel des réseaux sociaux dans le monde de l’art est indéniable.

Mais ces derniers ne font tout de même pas l’unanimité chez les artistes et autres professionnels de l’art. Problèmes de protection des œuvres ou encore crainte de dévaloriser leurs œuvres, les raisons sont multiples.

Pourtant, n’en déplaise aux conservateurs, dans l’art aussi il faut être informé des nouvelles tendances et savoir montrer ses œuvres. L’innovation, malgré les menaces qu’elle renferme, apparaît comme nécessaire dans l’art comme dans tout autre domaine au vu du monde actuel et des évolutions qu’il connait.

Les réseaux sociaux sont en effet des vecteurs de visibilité incontestable de l’art. A l’heure du boom du « personal branding », tirer profit de ces outils de communication est un véritable enjeu notamment pour les jeunes artistes. Certes, ces derniers ne sont ni des marketeurs ni des content mangers cependant, pour ceux qui ne sont pas épaulés par des galeries, l’enjeu est de taille. Combien d’autodidactes ont commencé en publiant sur Instagram puis se faisant repérer ont fini par exposer en galeries ou se faire publier !

Les réseaux sociaux permettent non seulement de gagner en visibilité mais également de toucher un public plus jeune et plus large que celui habitué des salles de ventes ou des galeries d’art. Qui plus est, ils offrent un espace d’expression sans contraintes de temps ni de lieu. Médiatiser autour d’une création, exposer le contexte de création d’une œuvre pour donner envie de voir l’œuvre en vrai ou même de susciter l’achat devient alors possible.

Et vous qu’en pensez-vous ? Plutôt conservateur ? Réfractaire ? Innovateur ? Quel est ou quel devrait-être la place des réseaux sociaux dans le monde de l’art ? Comment les utiliser à bon escient ?

Amateurs de sensations fortes… rendez-vous dans le canton de Berne!

Inaugure-t-on un nouveau parc d’attraction dans le canton de Berne, vous demanderez-vous ? Que nenni !

Ce qui vous est proposé aujourd’hui n’est autre qu’une balade à bord d’un ancien train de chantier, mais attention…pas n’importe quel train !

Trip advisor

En effet, dans la vallée du Hasli, sur les versants bernois du col du Grimsel, vous attend le célèbre Gelmerbahn qui n’est autre que le funiculaire le plus escarpé d’Europe.

Initialement construit en 1926 afin de faciliter la construction du barrage de Gelmer, ce « train de Gelmer » fait désormais la joie depuis 2001 de nombres d’aventuriers en quête de frissons. Avec une pente raide de plus de 106% reliant le Handegg au lac de Gelmer sur une ligne de 1026 mètres et à vitesse de 2 mètres par seconde, autant dire que ces derniers seront servis.

myswitzerland.ch

Et ce n’est pas tout ! Les 24 passagers embarqués chaque heure à bord de l’unique wagon à ciel ouvert du funiculaire pourront compléter leur aventure par une savoureuse randonnée de deux heures le long du lac Gelmer, admirer les chutes du Handegg après un léger passage sur le pont suspendu pour enfin repartir chemin inverse à bord du Gelmerbahn.

Vous l’aurez compris : les âmes sensibles ou enclines au vertige…devront s’abstenir !

 

La Suisse inaugure la première usine au monde de capture de CO2

sciencesetavenir.fr

Bonne nouvelle pour l’environnement ! Voilà déjà plus d’un mois qu’une usine d’un tout nouveau genre a vu le jour dans la ville de Hinwill, à quelques kilomètres seulement de Zurich. Climeworks, cette entreprise suisse spécialisée dans les énergies renouvelables, a mis au point un étonnant ventilateur permettant de capturer puis transformer le dioxyde de carbone directement présent dans l’air. Cette entreprise entend participer activement à la construction d’un avenir meilleur par la capture du CO2 émis par les activités humaines responsable notamment du réchauffement climatique. L’installation en question est d’apparence plutôt simple et repose sur une technologie dite de « capture d’air directe ». Quèsaco ?

Située sur le toit de l’incinérateur de Hinwill, l’installation mesurant douze mètres de hauteur et constituée d’un empilement de dix-huit ventilateurs aspire l’air ambiant. Le CO2 contenu dans l’atmosphère (traverse les turbines) se trouve alors piégé dans des filtres tapissant chaque unité et qui agissent comme des éponges.

hortipoint.nl

Les particules de CO2 récupérées sont ensuite chauffées à une température de 100°C afin de rendre ce dioxyde de carbone solide. A partir de là, une partie du CO2 récupéré est stocké sous terre et le reste est revendu à des industriels ainsi qu’aux exploitations agricoles voisines qui l’utilisent comme fertilisant. Résultat : une augmentation de 20% sur la croissance des laitues et autres légumes.

Et ce n’est pas fini ! L’installation ouverte le 31 mai dernier doit permettre de capturer neuf cents tonnes de CO2 par an soit l’équivalent des émissions de deux cents voitures. Il s’agit là d’un procédé mille fois plus efficace que la photosynthèse des végétaux… De quoi donner un sérieux coup de pouce aux plantes !

SolarStratos ou quand les suisses lancent un nouveau défi à l’aviation solaire!

 

SolarStratos. (techno-science.net)

Après l’exploit de Solar impulse, le premier monoplace à effectuer un tour du monde sans aucune goutte de carburant et uniquement à l’énergie solaire, place maintenant à SolarStratos, le premier avion solaire, lui aussi, mais qui a pour mission d’atteindre cette fois la stratosphère.

 

Raphael Domjan. (20minutes.ch)

Raphael Domjan, pilote neufchâtelois initiateur du projet SolarStratos est décidé à démontrer tout le potentiel de l’énergie solaire. Dans la lignée de Bertrand Piccard et André Borschberg, cet aventurier décide de tenter une nouvelle première mondiale en envoyant un avion solaire dans la stratosphère pour la première fois de l’histoire de l’aviation. Aucun avion à hélice n’a jamais réalisé cet exploit. Son but : aller encore plus loin, voire même dépasser ce qui avait été réalisé jusqu’ici avec des énergies fossiles.

 

Solarstratos. (oùmagazine.ch)

En effet, par un vol record stratosphérique prévu pour 2018, Raphael Domjam et son équipe envisagent d’atteindre plus de 80 000 soit 25 000 mètres d’altitude à bord d’un avion solaire biplace. Dans cet engin de plus 8,5 mètres de long pour 24,8 mètres d’envergure et recouvert de 22 m2 de panneaux solaires, le pilote suisse sera le premier à pénétrer dans la stratosphère à l’énergie solaire. L’avion construit par Calin Gologan a une autonomie de plus de 24 heures et pèse plus de 450 kilos. Pour des raisons de poids, SolarStratos ne sera donc pas pressurisé, Raphaël Domjan devra par conséquent porter une combinaison d’astronaute pressurisée. Celle dernière fonctionnera, elle aussi, exclusivement à l’énergie solaire, encore une première mondiale! Les pilotes suisses n’ont décidemment pas froid aux yeux lorsqu’il s’agit d’aviation solaire !

Un premier vol test de SolarStratos a eu lieu le 5 mai dernier à Payerne. Ce baptême de l’air a suscité l’intérêt de bon nombre de passionnés et amateurs. Par chance, contrairement au monoplace Solar Impulse, SolarStratos propose deux places en tandem. Raphaël Domjan a donc la possibilité d’emmener un passager avec lui dans les étoiles…pardon dans la stratosphère. Il aurait très rapidement pensé à Bertrand Piccard qui est, semble t-il, très intéressé.

Marc Couturier à l’Espace Muraille de Genève

Voila déjà une semaine que les genevois se font le plaisir d’admirer les œuvres singulières de Marc Couturier à l’Espace Muraille de Genève.

Qui est Marc Couturier ?

Pour celles et ceux qui ne le connaitraient pas encore, Marc Emile Léon Couturier est un célèbre plasticien contemporain français né en 1946 à Mirebeau-sur-Bèze en Côte d’Or. Si aujourd’hui, l’artiste vit et travaille à Paris, ses œuvres sont exposées, on peut le dire, dans le monde entier. Paris, Berlin, Luxembourg, Tokyo… et maintenant Genève ont succombé au caractère unique de l’œuvre du bourguignon.

Caroline Freymond et Marc Couturier

Loin de tout parcours canonique, l’œuvre de Marc Couturier est celle d’un autodidacte venu tardivement à la sculpture. Incarnant la figure devenue rare d’un artiste catholique croyant, Marc Couturier se plaît à traquer une beauté jusqu’alors indécelable pour l’empreindre d’un certain mystère et d’une spiritualité qui touchent un public large voire même anticléricale.

Si l’on ne devait dire que quelques mots sur l’art de cet artiste, on préciserait certainement que ce qui fait la particularité de Marc Couturier c’est le fait de poser un regard poétique et singulier sur le monde qui nous entoure. Connu pour le concept de « redressement » qu’il a forgé dans les années 90, Marc Couturier s’empare d’objets du quotidien, souvent négligés ou abandonnés, afin de leur redonner une seconde vie plus artistique. Acheiropoïète en grec ancien autrement dit non modifiés par l’artiste; tels sont les objets, les matériaux qui inspirent notre sculpteur. Il se les approprie pleinement puis nous les donne à voir sans les modifier, simplement en les inscrivant dans un contexte muséal qui les met en valeur.

A travers son exposition « Voyage, voyage, des aucubas aux dames de nage », le sculpteur et dessinateur français ne déroge pas à sa règle : une barque qui surgit d’un miroir, une feuille d’aucuba qui devient vitrail… l’Espace Muraille est en effet pleinement investit de l’atmosphère de Marc Couturier jusqu’au samedi 26 août 2017.

Solar Impulse, le livre

objectif soleil

Après avoir partagé leurs prouesses au travers d’un film documentaire, c’est à présent par l’intermédiaire d’un livre que les deux pilotes suisses, Bertrand Piccard et André Borchsberg, grands héros de la victoire Solar Impulse, nous font part de leur expérience. Ils revêtissent la casquette d’auteur afin de nous livrer les détails les plus personnels de leur aventure à l’énergie solaire. Au delà de l’aspect technique et écologique du projet, les deux aventuriers suisses révèlent à travers cette coécriture tout le coté humain d’une telle aventure. Comme le dit si bien Bertrand Piccard, ce livre c’est « l’histoire de la réalisation d’un rêve ». On apprend d’ailleurs très vite que Solar Impulse n’est pas seulement une prouesse sur le plan technique et écologique, c’est également une expérience humaine profonde de plus de treize années, impliquant toute une équipe de collaborateurs avec, au devant de la scène, deux hommes pour un seul et même avion. Rien n’est passé sous silence: désaccords, conflits et même les jalousies qui les ont opposés nous sont dévoilés. André Borschberg reproche par exemple à son équipier de prendre toute la lumière. Il rappelle que si c’est Bertrand Piccard qui s’est chargé de populariser le projet et de démarcher les sponsors au devant de l’espace médiatique, ce n’est pas moins lui qui a animé les équipes et construit l’avion. Une gloire à partager qui n’aurait sans doute pas poser de problème si l’avion n’avait pas eu qu’un seul siège! Qui allait piloter? Un dilemme que les deux co-auteurs abordent et racontent en toute sincérité.

Très vite, les deux aventuriers ont du apprendre à partager les péripéties, les caprices météorologiques, les complications douanières et administratives, les tracasseries techniques mais aussi et surtout, apprendre à partager le succès. C’est d’ailleurs en surmontant toutes leurs rivalités que Bertrand Piccard et André Borschberg ont fini par nouer une amitié qu’ils jugent aujourd’hui indéfectible.

Je vous laisse avec ces quelques lignes extraites de la quatrième de couverture d’ Objectif Soleil. C’est très peu je vous le concède, mais juste assez pour vous mettre en l’eau à la bouche.

 » On les avait crus fous quand ils ont parlé de leur projet, et pourtant ils ont réussi l’impossible : accomplir le premier tour du monde en avion solaire. Suivis par des millions de supporters, Bertrand Piccard et André Borschberg ont parcouru 43 000 km sans une goutte de carburant. En treize ans d’espoirs et de doutes, de succès et de revers, ils n’ont jamais cessé de croire à la force de leur rêve.
Ce livre est leur histoire, une ode à l’esprit pionnier. Le destin de deux hommes très différents, leur amitié et leur rivalité. Comme il n’y avait qu’un seul siège dans l’avion, ils ont dû apprendre à partager – les vols, les efforts, les larmes et la gloire.
L’énergie solaire les a portés. L’aventure humaine emportera le lecteur dans les émotions d’un rêve à la Jules Verne au service d’une meilleure qualité de vie sur cette planète.
Lorsque Solar Impulse achève son tour du monde à Abou Dhabi, le 26 juillet 2016, Bertrand Piccard et André Borschberg entrent dans la légende
. »

 

Energy Observer, le « Solar Impulse des mers » est à l’eau

Energy-observer-tirée de Paris-match.com
Energy-observer-tirée de Paris-match.com

Vendredi dernier, le 14 avril 2017, Energy observer, le premier catamaran autonome en énergie a été mis à l’eau sous le regard émerveillé d’une foule de spectateurs présents à Saint-Malo. Amarré dans le bassin Duguay-Trouin, près de la frégate Etoile du Roy de vendredi à lundi, pour être visible du public, il a été déplacé mardi vers un autre bassin du port afin de jouir d’ultimes finitions.

Si je m’étais amusé à comparer l’aventure Solar Impulse avec le roman de Jules Vernes, Le tour du Monde en 80 jours , autant dire que Energy Observer n’échappera pas non plus à une amicale comparaison avec l’œuvre du célèbre auteur. Après Le tour du monde en 25 jours de Solar Impulse, place à 20000 lieues sur les mers aec Energy Observer. Et je dis bien « sur » les mers et non pas « sous » comme dans le célèbre roman de Jules Vernes. Car il n’est pas question dans cette aventure d’un sous-marin qui promet un remarquable tour du monde des profondeurs, mais bien d’un catamaran à moteur qui naviguera bientôt sur les eaux du monde entier.

energyobserver.org
energyobserver.org

A bord de ce Nautilus des temps modernes, ne vous attendez pas biensûr à un moteur diesel. A l’instar de Solar Impulse qui achevait son tour monde à l’énergie solaire un an plus tôt, Energy Observer lance un nouveau challenge dans la promotion des énergies renouvelables. Aucune énergie fossile. Pour avancer, ce catamaran électrique d’un nouveau genre combine trois types d’énergies. Non seulement il produit son propre hydrogène à partir d’eau de mer dessalinisée mais il est également équipé de panneaux solaires et d’une éolienne afin de s’alimenter en énergies solaire et éolienne. Un incroyable bateau alliant soleil, vent et eau!

Après le succès rencontré par son « prédécesseur » Solar Impulse, l’aventure Energy Observer s’annonce tout aussi impressionnante.

Jonathan Nott fait renaître l’Orchestre de la Suisse Romande

A la tête de l’Orchestre de la Suisse Romande (OSR) depuis début janvier 2017, Jonathan Nott compte déjà à son actif des résultats très prometteurs. De la réorganisation de la disposition des musiciens à une tournée de dix jours en Espagne très enthousiasmante, Jonathan Nott est bel et bien décidé à faire renaître l’OSR. Composée de cent douze musiciens, l’OSR assure depuis toujours ses concerts d’abonnés à la salle du Victoria Hall de Genève et au Palais de Beaulieu à Lausanne mais offre également des tournées régulières en Europe, Amérique du Nord et Extrême-Orient qui le conduisent dans les salles les plus prestigieuse du monde entier.

tirée de letemps.ch
tirée de letemps.ch

Pourtant, cette grande institution classique de renommée internationale fondée en 1918 par Ernest Ansermet, a en effet connu une année 2016 plus que houleuse.Suite au départ prématuré de leur précédant directeur Henk Swinnen, les musiciens de l’OSR ont été confrontés à une année sans chef, durant laquelle régnait une atmosphère conflictuelle et pleine de doutes. Fort heureusement, l’arrivée de Jonathan Nott à la tête de l’orchestre finit par mettre tout le monde d’accord. Les musiciens plus qu’heureux de travailler en osmose avec leur nouveau directeur musical, ne manquent pas d’éloges à son sujet et savourent pleinement l’installation de leur chef britannique.

Salon de l’auto 2017, Genève

salon-de-geneveLa journée d’hier marquait la  fin de la 87ème édition du très célèbre salon international de l’automobile de Genève. Après une affluence de 687 000 visiteurs en 2016, le salon de l’auto confirme encore une fois son succès toujours grandissant. C’est en effet plus 690 000 entrées qui ont été enregistrées cette année en seulement 10 jours. Pour l’occasion, 10000 journalistes et 180 exposants ont répondu présents à ce rendez-vous incontournable de l’automobile. Au total, pas moins de 175 nouveaux modèles et concept cars ont été présentés soit plus de 900 voitures. De quoi ravir les curieux, amateurs, passionnés ou encore professionnels de l’automobile venus découvrir les dernières nouveautés et appréhender la splendeur des prototypes de recherche les plus avancés.

Le conseiller fédéral Johann Schneider-Ammann, en charge de l’inauguration du Salon cette année, n’est lui-même pas resté insensible au charme de ces bolides et voitures de luxe.  En témoigne son Tweet plutôt enthousiaste :

« Fascination de la technologie, défi de la numérisation, joies de la conduite au 87e salon de l’automobile de Genève @GimsSwiss Heureux! JSA » 

https://www.google.fr/search?q=renault+alpine+2017&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0ahUKEwjqkKmF9-PSAhWEOxQKHadkBEYQ_AUIBigB&biw=1366&bih=651#tbm=isch&q=renault+alpine+salon+de+l'auto+geneve+2017&*&imgrc=Tw_5IEC4swREkM:&spf=1102

Joie totalement justifiée car après les dernières années de crise, on peut dire que  l’industrie automobile fête son retour en force au Palexpo de Genève. Porsche, Audi, Ferrari, BMW, Italdesign… aucun grand nom ne manque à l’appel. Les constructeurs mondiaux ont tous fait preuve d’une grande inspiration à ce salon. Mais cette année, la grande vedette est française!

Nouvelle star de la production française, la tant attendue Renault Alpine A110 n’a pas manqué à ses promesses et fait l’unanimité à ce salon 2017. A travers cette biplace d’à peine 1100kg, Renault signe le retour d’une vraie sportive française et par la même occasion la renaissance de la marque Alpine.

http://www.ledauphine.com/france-monde/2017/03/07/les-plus-belles-voitures-du-salon-de-l-automobile-de-geneve
http://www.ledauphine.com/france-monde/2017/03/07/les-plus-belles-voitures-du-salon-de-l-automobile-de-geneve

Toujours sur la liste des vedettes, mais d’un tout autre genre on note la sensationnelle Pop.Up, voiture volante de chez Airbus et Italdesign. Conçue pour désencombrer la circulation des grosses mégapoles, cette charmante petite voiture, digne des plus grands films de science-fiction, se transforme au bon vouloir soit en voiture de ville classique soit en espèce de drone volant. De quoi rêver à une nouvelle ère de l’automobile !

On vous l’a dit, l’industrie a bel et bien fait son retour en forme !!!!